Drouin trépigne d'impatience à l'idée de jouer pour St-Louis
TVA Nouvelles
Il y avait beaucoup de talent sur le court 2 du stade IGA, samedi après-midi : un attaquant de 115 points en Jonathan Huberdeau, les champions olympiques Marc-Édouard Vlasic et Mélodie Daoust ainsi qu’un choix de premier tour des Predators de Nashville, Zachary L’Heureux.
Mais Jonathan Drouin était sur une autre planète par rapport à tout ce beau monde. C’est dans les matchs amicaux comme celui-ci, qui opposait des hockeyeurs professionnels à des joueurs de l’ATP en marge de l’Omnium Banque Nationale, que les habiletés individuelles très élevées du Québécois ressortent.
Drouin semble être fait pour ce genre d’événement, lui qui s’amusait comme larrons en foire, le sourire fendu jusqu’aux oreilles en servant des passes parfaites à ses coéquipiers et en maniant la balle avec aisance sur la surface en ciment.
Le numéro 92 se fait un point d’honneur de montrer cette attitude rayonnante durant ce genre d’occasions puisqu’il garde le souvenir de certaines expériences moins agréables avec des joueurs par le passé.
«Quand j’étais jeune, j’ai tout le temps aimé aller à la rencontre des joueurs de la Ligue nationale... ceux qui sont gentils. J’ai rencontré des joueurs qui sont un peu moins le fun à côtoyer, donc j’ai tout le temps voulu que les gens aient du plaisir quand je fais des événements comme ça», a candidement avoué le principal intéressé.
Ancien du Canadien devenu analyste à TVA Sports, Alexandre Picard est aussi le papa d’un hockeyeur de 11 ans, avec qui il parcourt les arénas de la province. Il y a quelques semaines, il nous a envoyé une lettre ouverte rédigée au début du mois de septembre, dans laquelle il dresse un constat frappant: de nombreux enfants doivent renoncer au hockey, notre sport national, faute de moyens.
Les chiffres le prouvent: Joshua Roy est encore dominant offensivement et son jeu défensif progresse
Le Canadien a renvoyé Joshua Roy à Laval après un camp d’entraînement décevant afin qu’il continue à travailler sur son développement. Qu’en est-il? Le jeune Beauceron se rapproche-t-il d’un rappel à Montréal? On a posé la question à nos robots.