De retour sur les bancs d’école en septembre: les jeunes hockeyeurs ukrainiens poursuivront leurs études au Québec
TVA Nouvelles
À peine repartis en Ukraine après avoir passé une année scolaire complète au Québec, voilà que le retour des jeunes hockeyeurs ukrainiens dans la Vieille Capitale est déjà confirmé, eux qui amorceront une deuxième année d’étude à la St. Patrick’s High School en septembre, loin de la guerre qui sévit toujours dans leur pays natal.
Leur départ a d’ailleurs été particulièrement émotif à la fin juin, alors que plusieurs changeront de famille à leur retour au Québec. C’est le cas de la famille Robert, qui accueillait le jeune gardien de but Matvii Kulish.
«Aujourd’hui, tu retournes en Ukraine, à Kyïv. Qu’ils soient positifs ou comportant des défis, tout au long de l’année, nous avons collectionné de merveilleux souvenirs ensemble, tu nous as fait grandir comme personne, comme couple et comme famille», a mentionné François Robert dans sa page Facebook.
«Ton départ va laisser un grand vide dans nos vies, surtout de ne plus t’avoir quotidiennement autour de notre table à manger. Nous te souhaitons un bon retour et surtout, soit prudent dans ce pays en guerre, ou les sirènes referont malheureusement partie de ton quotidien», a-t-il ajouté.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...