
Crise de l’itinérance: les tentes et le fouillis de retour au campement Notre-Dame
Le Journal de Montréal
On assiste deux mois avant le début de l’été au retour des itinérants sur le terrain longeant la rue Notre-Dame, dans l’est de Montréal.
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La portion située à l’est du boulevard Pie-IX est particulièrement occupée par des itinérants qui y ont planté leur tente, certains depuis quelques semaines déjà.
Un fouillis est perceptible en raison de plusieurs objets ramassés dans le quartier et qui se retrouvent désormais sur ce terrain du ministère des Transports du Québec.
Des tentes ont aussi été repérées près du parc Morgan, fréquenté par plusieurs familles du quartier.
«C’est l’enfer. On s’est fait avoir par les vents, on s’est fait avoir par la température ces dernières semaines. Ça fait qu’une journée après l’autre, c’est une nouvelle expérience», témoigne Devin, l’un des occupants du campement.
«Il n’y a pas de logements, c’est la crise du logement», ajoute sa copine, Mélanie, qui vient d’arriver sur le site.
Le campement Notre-Dame a été démantelé partiellement en décembre.

Se nourrir est une nécessité fondamentale pour l’être humain, mais le besoin de convivialité l’est tout autant. Plutôt que de cuisiner chez soi, il arrive que l’on privilégie un repas au restaurant, en famille ou entre amis, pour profiter d’un moment de détente ou simplement combler un manque de temps. C’est aussi l’occasion idéale de s’initier à de nouvelles saveurs.

Le fiasco financier SAAQclic s’élevait déjà à 1,1 milliard $, mais la facture totale sera forcément encore plus élevée. La SAAQ a conclu plus de 1800 contrats supplémentaires dissimulés avec divers consultants et fournisseurs dans le cadre de sa transformation numérique, a révélé la commission Gallant.