Contrainte de dormir dans sa voiture: elle trouve finalement un logement
TVA Nouvelles
Moins de deux semaines après un reportage de TVA Nouvelles qui faisait état de l’histoire d’une mère de famille contrainte de dormir dans son véhicule après une manœuvre douteuse de son propriétaire, Julie Vadboncoeur va pouvoir intégrer un logement à prix modique au cours des prochains jours.
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Rencontrée lundi matin à Salaberry-de-Valleyfield, Mme Vadboncoeur avait meilleure mine, car elle ne dort plus dans son véhicule.
Les services d’accompagnement en logement d’urgence lui ont offert temporairement une chambre dans un motel. Elle déménagera la semaine prochaine dans un logement de l’Office municipal d’habitation (OMH) qui respecte sa capacité de payer.
«J’ai pu avoir une réponse à une inscription à l’OMH pour les logements à faible revenu et j’en ai obtenu un. J’en remercie le ciel tous les jours», a-t-elle témoigné.
Mme Vadboncoeur avait été évincée de son ancien logement après que le propriétaire lui a dit que sa mère prendrait l’appartement. Elle s’est cependant rendu compte que l’endroit se retrouvait désormais loué le double du prix.
«Ce qui me dérange le plus, c’est la malhonnêteté là-dedans. [...] Jusqu’à maintenant, il n’y a personne encore», a-t-elle mentionné.
Elle doute toujours de la bonne foi de son ancien propriétaire qui a remis sur le marché l’appartement qu’elle occupait pour presque le double du prix. Elle entend faire valoir ses droits au Tribunal administratif du logement.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...