Ces couleurs de maillot de bain pour enfant pourraient éviter une noyade
TVA Nouvelles
Des experts ont découvert que la couleur du maillot de bain d’un enfant peut améliorer sa sécurité et éviter des cas de noyade lors d’une journée à la plage ou autour de la piscine.
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«La couleur du maillot de bain d'un enfant peut avoir un impact significatif sur sa visibilité dans l'eau, ce qui est essentiel pour prévenir les noyades», a déclaré Bernard Fisher, directeur de la santé et de la sécurité de l'American Lifeguard Association dans un courriel obtenu par CNN.
Selon lui, les teintes vives et contrastées se remarquent mieux sous l'eau, ce qui permet aux sauveteurs et aux parents de voir plus facilement un enfant. Il recommande les couleurs jaune fluo, orange, rose et rouge vif.
À l’inverse, M. Fisher déconseille de porter du bleu clair, du gris ou du vert, puisque ces nuances peuvent se fondre dans l’eau et dans l'environnement de la piscine.
Le scénario idéal pour la Dre Maneesha Agarwal est qu'il ne faudrait jamais se fier à la couleur du maillot de bain pour retrouver un enfant en cas de noyade.
La professeure agrégée de pédiatrie et de médecine d'urgence à la faculté de médecine de l'Université Emory estime que l’étude «a du sens», mais a précisé qu'il n'existe pas de preuve concrète qu'un maillot de bain fluo sauvera un enfant de la noyade.
La surveillance d’un adulte reste donc le meilleur moyen pour sauver un enfant. L’installation de clôtures et des cours de natation sont d’autres méthodes pour prévenir une telle tragédie.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...