Ce chat perdu retrouve sa famille... huit ans plus tard
TVA Nouvelles
Une famille montréalaise a reçu un appel pour le moins étonnant: son chat, perdu depuis huit ans, a finalement été secouru... à 165 km de la maison.
Indie, la chatte maintenant âgée de 11 ans, a été retrouvé au début du mois par un passant qui l’a amenée à la Ottawa Humane Society.
C’est parce que l’animal au poil noir et blanc avait été micropucé que l’organisme a pu le retrouver et contacter ses propriétaires.
«J’étais sous le choc, c’est le moins qu’on puisse dire. C’était une grande surprise, mais une heureuse surprise. Je l’appelais Houdini, parce qu’on ne savait jamais où elle allait se présenter», a raconté son propriétaire Grant Pretorius, en entrevue à Global News.
Cette fois, la petite magicienne s’est surpassée. L’homme l’a cherchée en vain pendant plusieurs semaines, plaçant des affiches pour la retrouver.
«J’ai supposé le pire, et je n’ai jamais réussi à tourner la page», a-t-il mentionné.
Pour l’organisme, l’histoire d’Indie est une première également. «Souvent, nous sommes en mesure de réunir des animaux qui ont disparu pendant quelques semaines, quelques mois, mais voir un animal qui a été absent pendant plusieurs années, en fait huit, est assez inhabituel», a expliqué le responsable des communications de l’organisme, Stephen Smith.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...