Blizzard, blessure, chutes de pierres et grimpe de nuit: la 1re Québécoise au sommet du K2 raconte son exploit
TVA Nouvelles
Le 22 juillet dernier, Marie-Pier Desharnais est devenue la première Québécoise à atteindre le sommet d’une des montagnes les plus dangereuses au monde: le K2.
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Blizzard, froid, blessure à une main, pente abrupte et prises risquées: son parcours a été parsemé d’embûches et de défis.
Le sommet de couche, c’est-à-dire la partie de la grimpe qui se déroule après le camp de base, a duré cinq jours au total.
«On est partis du camp de base jusqu’au camp 1, c’est environ 8 à 10 heures entre chaque camp qui sont requises, donc on grimpe toute la journée. Même chose pour se rendre au camp 2 le lendemain», explique l’alpiniste en entrevue à LCN.
Le trajet entre le camp 2 et le camp 3 a été exigeant.