
Allier saines habitudes de vie et pédagogie par le Défi Château de neige
Radio-Canada
Le Défi Château de neige, qui invite la population à bouger dehors et construire cette structure typique de l’hiver québécois, débute aujourd'hui, le lundi 10 janvier.
Ce défi est ouvert à tous, soit les citoyens, entreprises, écoles et organismes communautaires. Pour participer, il faut construire un château de neige, le prendre en photo, puis la partager sur le site web du Défi.
Ce n’est pas une compétition du plus gros château de neige. C’est sûr que peut-être à un moment donné ce sera une compétition municipale. On verra bien. C’est vraiment pour le plaisir. Petit ou grand château, peu importe, tout le monde est invité à participer, indique Luc Gendron, agent de planification et de recherche en santé publique au Centre régional de santé et services sociaux de la Baie-James.
Karine Bisson de Sports et Loisirs Abitibi-Témiscamingue, souligne une nouveauté au Défi cette année : quatre guides pédagogiques pour les participants des catégories scolaire et petite-enfance.
Allier l'utile à l’agréable pour construire des châteaux de neige dans un contexte scolaire, précise-t-elle. Ces guides pédagogiques sont disponibles en ligne. On invite les enseignants et les enseignantes à les consulter. Ça permet d’aborder des notions pédagogiques autour de la construction d’un château de neige pour chaque cycle du préscolaire et du primaire.
Des prix seront attribués au hasard parmi les participants qui auront inscrit leur château d’ici la fin du défi, soit le 14 mars.
Loisirs et Sports Abitibi-Témiscamingue et le CRSSS de la Baie-James rappellent que les participants doivent faire preuve de prudence.
On demande à la population de faire une structure qui ne comporte pas de tunnel et pas de plafond pour s’assurer qu’il n’y ait pas à un moment donné une certaine surface de la structure qui pourrait s’effondrer, dit Karine Bisson.
Les participants sont aussi appelés à respecter les mesures sanitaires en place, soit la distanciation physique et le port du masque lorsque ce n’est pas possible.