
Acheter un chauffe-terrasse : les précautions à prendre, qu’il soit électrique ou au propane
Le Journal de Montréal
Personne ne veut que la belle saison se termine. Alors, pour allonger les soirées sur la terrasse cet automne, tournez-vous vers l’achat d’un chauffe-terrasse. Petit guide pour trouver ce qu’il vous faut.
Chauffe-terrasse au propane On les utilise avec une bonbonne de propane, comme pour les barbecues, dissimulée dans la base de l’appareil qui prend souvent l’apparence d’une tour ou d’une lampe sur pied. Ils sont généralement plus puissants que les électriques, permettant de réchauffer une plus grande surface. Toutefois, ils ne doivent être utilisés que pour des espaces bien aérés. Ne les installez pas près des fenêtres ou des portes pour éviter que le monoxyde n’entre dans la maison.
Leur prix varie entre 200 et 700 $ pour des chauffe-terrasse d’une puissance de 40 000 à 46 000 BTU/h.
Chauffe-terrasse électrique Ces appareils nécessitent d’être branchés à une source de courant de 240 V afin de distribuer de la chaleur par rayonnement infrarouge. Il existe de nombreux modèles – un appareil suspendu ou autoportant, une tour, une barre à fixer au mur, etc. – avec des puissances variées. Ces appareils peuvent être installés dans un endroit fermé (une galerie, une véranda, un garage, etc.). Assurément un choix plus écologique, car aucun gaz ni émanation ne sont rejetés autour de vous.
Le prix des plus petits modèles débute autour d’une centaine de dollars – parfois moins quand ils sont en solde –, mais peut grimper selon leur puissance, qu’on calcule en watts.
Un appareil à infrarouge émet de la chaleur radiante qui n’est pas altérée en cas de vent, ce qui n’est pas la même chose avec ceux qui présentent une flamme (au propane).
Chauffe-terrasse au propane 42 000 BTU/379 $ (Rona)
Cet appareil permet de générer une puissance de 42 000 BTU et offre une combustion maximale de 13 heures. Sa forme de pyramide permet une bonne stabilité et plus de sécurité.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.




