
«Mission: Impossible - Bilan mortel, première partie»: Tom Cruise spectaculaire!
Le Journal de Montréal
Tom Cruise, le réalisateur Christopher McQuarrie, Rebecca Ferguson, Hayley Atwell et Pom Klementieff, pour ne nommer qu’eux, livrent un spectacle de cascades et d’action hautement satisfaisant.
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Mission: Impossible - Bilan mortel, première partie, comme tous les films précédents de cette franchise aux recettes de 3,5 milliards $ US, est fait pour le grand écran... idéalement un écran IMAX afin de profiter pleinement des cascades incroyables, des décors superbes et de l’action trépidante.
Hyper léché – plus que les volets antérieurs –, sans un défaut technique – un miracle, compte tenu de la durée de 163 min – et avec un humour et une autodérision qui sont les bienvenus – pour la première fois de la franchise –, Mission: Impossible - Bilan mortel, première partie voit Ethan Hunt (Tom Cruise) partir à la poursuite de clés activant (et donc désactivant) une intelligence artificielle que veut contrôler le méchant Gabriel (Esai Morales). Voilà pour l’ossature de la trame narrative, laquelle regorge de détails supplémentaires, de clins d’œil à la série originale et de nouveaux personnages.
Oui, certes, on retrouve avec le même plaisir Benji Dunn (Simon Pegg), Luther Stickell (Ving Rhames) et IIlsa Faust (Rebecca Ferguson), la veuve blanche (Vanessa Kirby), Paris (Pom Klementieff), et l’on revoit avec plaisir Eugene Kittridge (Henry Czerny, qui reprend son rôle du premier long métrage de 1996) en patron de l’IMF, la fameuse Impossible Mission Force sans laquelle rien de tout ceci ne serait possible depuis la série télévisée diffusée à partir de 1966.