«Mission: Impossible - Bilan mortel, première partie»: Tom Cruise spectaculaire!
Le Journal de Montréal
Tom Cruise, le réalisateur Christopher McQuarrie, Rebecca Ferguson, Hayley Atwell et Pom Klementieff, pour ne nommer qu’eux, livrent un spectacle de cascades et d’action hautement satisfaisant.
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Mission: Impossible - Bilan mortel, première partie, comme tous les films précédents de cette franchise aux recettes de 3,5 milliards $ US, est fait pour le grand écran... idéalement un écran IMAX afin de profiter pleinement des cascades incroyables, des décors superbes et de l’action trépidante.
Hyper léché – plus que les volets antérieurs –, sans un défaut technique – un miracle, compte tenu de la durée de 163 min – et avec un humour et une autodérision qui sont les bienvenus – pour la première fois de la franchise –, Mission: Impossible - Bilan mortel, première partie voit Ethan Hunt (Tom Cruise) partir à la poursuite de clés activant (et donc désactivant) une intelligence artificielle que veut contrôler le méchant Gabriel (Esai Morales). Voilà pour l’ossature de la trame narrative, laquelle regorge de détails supplémentaires, de clins d’œil à la série originale et de nouveaux personnages.
Oui, certes, on retrouve avec le même plaisir Benji Dunn (Simon Pegg), Luther Stickell (Ving Rhames) et IIlsa Faust (Rebecca Ferguson), la veuve blanche (Vanessa Kirby), Paris (Pom Klementieff), et l’on revoit avec plaisir Eugene Kittridge (Henry Czerny, qui reprend son rôle du premier long métrage de 1996) en patron de l’IMF, la fameuse Impossible Mission Force sans laquelle rien de tout ceci ne serait possible depuis la série télévisée diffusée à partir de 1966.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.