«Double drapeau» pour une meilleure inclusion: «il faut continuer à se battre», souligne une championne canadienne
TVA Nouvelles
Le «double drapeau» pour les athlètes des communautés LGBTQ+, créée par la Société de développement commercial (SDC) du Village à Montréal, est l’initiative idéale pour que les athlètes des Jeux olympiques se sentent «soutenus», selon une championne canadienne en course de longue distance.
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Caroline Pomerleau, celle qui est le visage de la vidéo promotionnelle dévoilée par la SDC, est de l’avis que «plus les gens affichent leurs couleurs, plus tous ceux de la communauté vont sentir qu’on est derrière eux», commente-t-elle en entrevue à TVA Nouvelles.
Ce drapeau qui représente d’un côté l’unifolié et de l’autre le drapeau des communautés LGBTQ+ permet aux athlètes des Jeux de se sentir «soutenus» et en «communauté», indique la championne canadienne.
Caroline Pomerleau porte le drapeau pour non seulement «montrer ses couleurs», mais également «encourager les autres à montrer leurs propres couleurs», sans vivre «aucune intimidation», soutient-elle.
Heureusement, l’athlète de course de longue distance confie qu’elle n’a jamais été victime de commentaires négatifs ou d’intimidation malgré son orientation sexuelle, mais du côté des hommes, il reste du chemin à faire.
«Du côté des hommes, c’est plus difficile. Il faut continuer à se battre. Il ne faut pas tenir la cause pour acquise», explique Caroline.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
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