Vol de véhicules: beaucoup de Québécois n’utilisent pas de dispositif antivol
TVA Nouvelles
Malgré l’ampleur du phénomène du vol de véhicules, des automobilistes n’utilisent aucune mesure de protection antivol, selon un sondage de CAA-Québec qui veut sensibiliser sur la nécessité d’investir dans la sécurité de sa voiture.
Le coup de sonde publié mardi révèle que l’écrasante majorité des répondants (81 %) sont pourtant conscients que la hausse des véhicules volés fait augmenter le prix des assurances automobiles.
Quelque 72 % des automobilistes qui n’utilisent pas un système antivol se disent prêts à en installer un si cela leur permet de réduire leur prime d’assurance, au moment où à peine le quart des propriétaires de véhicule craignent de se faire voler.
En revanche, chez les plus jeunes automobilistes, seulement 18 % des 18-34 ans comptent se munir d’un dispositif antivol à l’achat ou à la location d’un véhicule neuf, selon les résultats du sondage.
Devant les moyens technologiques des voleurs, l’organisme croit que les automobilistes ne devraient pas seulement se contenter de verrouiller les portières de la voiture, plaidant pour d’autres dispositifs comme le protecteur de port (OBD) et le verrou de volant.
«Bien que les autorités aient un rôle à jouer, c’est aussi la responsabilité de tous les conducteurs de voir à diminuer les risques de vol de voiture en adoptant de bonnes habitudes et en utilisant les moyens disponibles pour décourager les voleurs», a plaidé Suzanne Michaud, vice-présidente Assurances chez CAA-Québec.
J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire.
C’est vraiment la fin pour les sentiers de vélo de montagne La Marmota aménagés sans autorisation par des citoyens à Cap-Rouge. En dépit de la mobilisation des usagers et d’une pétition de 15 000 noms, l’entrepreneur mandaté par la Ville a officiellement commencé les travaux de démantèlement mercredi matin.