Les assistants IA de Google veulent vous accompagner partout
TVA Nouvelles
Google a présenté mardi ses dernières innovations en intelligence artificielle (IA) générative, qui vont potentiellement transformer le quotidien de ses utilisateurs, de la recherche en ligne à de nombreuses tâches du quotidien, grâce à des assistants toujours plus omniscients.
• À lire aussi: OpenAI donne de nouveaux superpouvoirs à ChatGPT
• À lire aussi: ChatGPT: 7% des étudiants québécois l’ont déjà utilisé pour qu'il fasse un devoir à leur place
• À lire aussi: OpenAI fait la compétition à Google?
«Nous n'en sommes encore qu'au tout début de la transition vers l'ère de l'IA», a rappelé d'emblée Sundar Pichai, le patron de Google, sur la scène de l'amphithéâtre en plein air de l'entreprise à Mountain View (Californie).
Le géant américain des technologies tenait mardi sa conférence annuelle pour les développeurs, sous le signe de l'IA générative (production de contenus sur simple requête en langage courant).
Selon Sundar Pichai, «la transformation la plus excitante, c'est évidemment la recherche en ligne générative sur Google».
Google testait déjà depuis un an sa nouvelle approche: en haut de la page de résultats, l'internaute reçoit une réponse rédigée à sa question, générée par Gemini, le modèle d'IA de Google. Il peut ensuite cliquer sur des suggestions de questions additionnelles, ou, plus bas, sur les liens traditionnels vers des sites web.
Des tests concluants, d'après le dirigeant : «les utilisateurs font plus de recherches et sont plus satisfaits», a-t-il assuré.
On sait que, dans nos écoles, les enseignants sont habitués à faire du neuf avec du vieux. Certains courent même les brocantes pour acheter à leurs frais meubles et objets destinés à leur classe. Depuis quelques mois cependant, le gouvernement de la CAQ fait lui aussi du neuf avec du vieux en annonçant comme des nouveautés des éléments qui existent déjà.
L’hélicoptère dans lequel sont montés les trois évadés d’Orsainville a fort probablement été démantelé et enterré à Sainte-Béatrix, dans Lanaudière, et risque ainsi de ne jamais être retrouvé, estime l’enquêteur à la retraite Pierre Samson, qui a procédé à l’arrestation de ces fugitifs, il y a 10 ans.