Violence armée: le SPVM a «les effectifs nécessaires», selon un élu montréalais
Le Journal de Montréal
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) bénéficierait de ressources suffisantes pour agir face à la montée de la violence par armes à feu dans la métropole, a avancé Alain Vaillancourt, conseiller de la Ville dans le Sud-Ouest et membre du comité exécutif responsable de la sécurité publique.
• À lire aussi: Des fonds contre la violence armée
«Les équipes qu’on a mises en place avec le SPVM, c’est vraiment les équipes mixtes qui sont actives, qui font des interventions tous les jours sur les enjeux dont on parle. Les effectifs sont sur place, ils ont les moyens présentement pour le faire. Et s’ils déterminent qu’il y a d’autres choses à faire par rapport à la violence armée, on est toujours à l’écoute», a affirmé l’élu de Projet Montréal en entrevue vendredi matin à QUB radio.
«Ils ont les effectifs nécessaires pour mener leurs enquêtes, pour être certains que les équipes mixtes travaillent activement sur le terrain [...] Tout va bien présentement à ce niveau-là pour les enquêtes», a-t-il ajouté.
M. Vaillancourt a par ailleurs assuré que la Ville effectuait une veille active, alors que le retour des beaux jours et le déconfinement pourraient avoir une influence sur la hausse de ce type d’incidents.
«On est conscient que le potentiel est toujours là. Par contre, on est rassuré que les équipes soient en place. Tout est en place présentement pour s’assurer que si quelque chose arrive, on réagit rapidement», a-t-il souligné.
En ce sens, il compte sur la présence de cadets pour assurer la sécurité dans la métropole pendant l’été.
Nouveaux médecins forcés de travailler au public: potentiellement discriminatoire, reconnaît Legault
Forcer les nouveaux médecins formés au Québec à travailler au public durant quelques années serait discriminatoire, reconnaît François Legault. Son gouvernement est tout de même prêt à aller de l’avant, en imposant la clause dérogatoire.