Le fédéral critiqué: 5 déclarations surprenantes de Joël Lightbound
TVA Nouvelles
Dans une sortie en règle contre le gouvernement fédéral, le député libéral Joël Lightbound a vivement critiqué la gestion de la pandémie de Justin Trudeau. Voici 5 déclarations surprenantes du député :
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«J’ai entendu des parents inquiets de voir leurs enfants sombrer dans la dépression, de voir leurs enfants perdre beaucoup d’entrain et de joie de vivre au fil des deux dernières années. J’ai entendu des pédiatres qui m’appellent en larmes en me parlant de l’anxiété, de l’isolement, du décrochage de leurs jeunes patients [et] qui me disent qu’il est plus que temps qu’on laisse les jeunes vivent.»
«J’ai entendu des citoyens qui s’inquiètent et qui s’indignent de voir qu’au Québec, en 2022, en vertu de mesures sanitaires, on séquestre des aînés triplement vaccinés. Qu’au Québec, en 2022, on a enfermé des enfants de 6 à 10 ans dans des chambres sans fenêtre pendant 10 jours. Des enfants qui testaient négatifs, qui étaient asymptomatiques, mais qui avaient eu un contact à risque.»
«J’ai entendu des gens qui s’inquiètent de voir que certains semblent facilement, voire jovialement, oublier qu’on n’est pas tous égaux face au confinement. Que ce n’est pas tout le monde qui peut gagner sa vie sur un MacBook au chalet.»
«Le gouvernement doit entamer, sans délai, des négociations avec les provinces quant aux transferts en santé. La position actuelle du gouvernement me semble intenable. D’une part on dit qu’on ne négociera pas les transferts tant que la pandémie ne sera pas terminée et du même souffle on dit que la pandémie va durer des années.»
«Il est plus que temps qu’on arrête de diviser la population, qu’on arrête de monter une partie de la population contre une autre. Je ne peux pas m’empêche de constater, à regret, que tant le ton que les politiques de mon gouvernement ont changé drastiquement à l’aube de la dernière campagne électorale et pendant la dernière campagne. D’une approche positive et rassembleuse, une décision a été prise d’adopter une approche qui divise et qui stigmatise.»