La Biélorusse Azarenka fond en larmes en plein match
Le Journal de Montréal
La Bélarusse Viktoria Azarenka a fondu inexplicablement en larmes en plein match et n'a pas pu reprendre le jeu avant plusieurs minutes, lors de sa défaite de 6-3, 6-4 contre la Kazakhe Elena Rybakina, lundi, au troisième tour du WTA 1000 d'Indian Wells.
Deux jours après les pleurs de la Japonaise Naomi Osaka, blessée par une insulte à son endroit prononcée par une personne dans le public, un autre épisode lacrymal, tout aussi éprouvant et, force est de constater de moins en moins inhabituel, s'est produit sur ce même court central.
Azarenka, double lauréate de l'épreuve (2012, 2016), a éclaté en sanglots après une double faute commise à 2-2 dans la seconde manche.
Main sur les yeux pour vainement empêcher les larmes de couler, s'accroupissant tête basse comme pour masquer sa détresse, elle a subitement inquiété les spectateurs, son adversaire et l'arbitre principale, descendue de sa chaise pour aller à sa rencontre et lui demander si tout allait bien.
«Avez-vous besoin d'aide?», lui a-t-elle demandé, et Azarenka a répondu à trois reprises : «Je suis désolée», sans en dire plus.
«Non, ce n'est pas normal»
Rybakina a ensuite demandé à l'arbitre ce qui se passait. «Je vérifiais juste qu'elle allait bien», a répondu celle-ci. «D'accord, mais est-ce normal?», a alors demandé la Kazakhe. «Non, ce n'est pas normal. C'est la première fois que cela se produit», a dit l'arbitre.
Le match a finalement repris et l'ancienne N.1 mondiale a pu le finir, s'empressant de quitter le court en saluant les spectateurs qui l'ont chaleureusement applaudie.
Impossible de savoir si le problème était donc d'ordre physique - une possibilité car Azarenka, finaliste l'an passé, avait des straps autour de l'épaule droite - ou mental, dans un contexte difficile lié à l'invasion de l'Ukraine par la Russie, dont le Bélarus est l'allié.
Personne à 16 ans ne devrait mesurer 7 pi et peser 273 lb. C’est le cadeau, parfois empoisonné, que la nature a donné au défenseur Alexander Karmanov, timide géant au potentiel incalculable ayant quitté la Biélorussie pour poursuivre son développement aux États-Unis. Il est, jusqu’à preuve du contraire, le plus grand hockeyeur au monde, selon les données que nous avons pu colliger.