Katherine Levac sera la voix de la sécurité routière pour la prochaine année
Le Journal de Montréal
La vice-première ministre Geneviève Guilbault, qui mise sur l’humoriste Katherine Levac dans le cadre d’une nouvelle campagne de sensibilisation à la sécurité routière, assure que «plus jamais» elle n’oubliera de porter sa ceinture en voiture.
• À lire aussi: Geneviève Guilbault, ne porte pas toujours sa ceinture de sécurité en voiture
• À lire aussi: Geneviève Guilbault, s’excuse d’avoir oublié de porter sa ceinture de sécurité
Entourée d’élèves du primaire qui donnaient la dernière touche à une fresque peinte sur la chaussée devant l’école Fernand-Séguin, à Québec, la ministre des Transports et de la Mobilité durable, a dévoilé mercredi les grandes lignes de la campagne « La sécurité routière, j’embarque », dont Katherine Levac sera porte-parole.
Une semaine après la publication, dans les pages du Journal, de plusieurs photos la montrant sans ceinture de sécurité, Mme Guilbault a rappelé que même les politiciens doivent s’attacher.
« Plus jamais »
« Grâce à vous, plus jamais, jamais, jamais, je ne vais oublier de mettre ma ceinture de sécurité. C’est la bonne nouvelle », a-t-elle ironisé, en répondant aux questions des journalistes.
La vice-première ministre, qui dit avoir « passé beaucoup de temps » sur le terrain depuis que l’affaire a défrayé la manchette, notamment en raison de l’élection partielle dans Jean-Talon, a avoué que plusieurs citoyens lui en ont reparlé.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.