Festival international de jazz de Montréal: près de 2M$ en aide du gouvernement
Le Journal de Montréal
Le Festival international de jazz de Montréal recevra près de 2 millions de dollars de la part du gouvernement, notamment en raison des effets de la pandémie sur l'industrie touristique.
Le Festival recevra une aide financière totale de 1,8 million $ de la part de trois ministères, ont annoncé les ministres Caroline Proulx, Chantal Rouleau et Nathalie Roy mercredi.
Le ministère du Tourisme versera 1 million $ par l'entremise du programme d’aide financière aux festivals et aux événements touristiques.
Tandis que de son côté, le Secrétariat à la région métropolitaine du ministère des Affaires municipales et de l'Habitation va attribuer 500 000 $ dans le cadre du Fonds d'initiative et de rayonnement de la métropole (FIRM). Les derniers 300 000 $ seront offerts par la Société de développement des entreprises culturelles (SODEC), en vertu du volet 1 du Programme d'aide à la diffusion en variétés.
« Je suis fière que le gouvernement du Québec soutienne le Festival international de jazz de Montréal. Cet incontournable rendez-vous montréalais offre, depuis plus de quarante ans, une vitrine extraordinaire aux artistes tout en faisant rayonner le leadership du Québec sur la scène événementielle internationale», a indiqué la Mme Proulx, ministre du Tourisme et ministre responsable des régions de Lanaudière et du Bas-Saint-Laurent.
«Rendre cette culture accessible au plus grand nombre est une priorité de notre gouvernement, et c'est pourquoi il soutient cet événement d'exception, qui propose cette année un programme riche et varié en formule hybride», a souligné Nathalie Roy, ministre de la Culture et des Communications.
Le Festival, présenté jusqu’au 19 septembre, sera offert en formule hybride. Le public pourra assister notamment au spectacle d’une trentaine d’artistes en personne ou en virtuel.
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Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
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