Denise Filiatrault réagit au décès de son amie Denise Bombardier: «Elle avait peur de la maladie»
Le Journal de Montréal
«C’est épouvantable. C’est arrivé bien vite. On ne s’attendait pas à ça personne, si vite que ça. Jamais, jamais, jamais dans 100 ans.» Au bout du fil, c’est une Denise Filiatrault chagrinée d’avoir perdu Denise Bombardier, une amie et sa voisine en Floride, que Le Journal a contactée.
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«Denise, c’était une fille qui semblait arrogante, sûre d’elle. Mais elle avait un côté de petite fille de quatre ans et demi, des fois, mentionne Mme Filiatrault. Elle avait peur de la maladie, elle avait peur qu’il arrive quelque chose. Elle se défendait en ayant l’air sûre d’elle pour tout, ce qui n’était pas le cas.»
«Ma fille Danièle [Lorain] savait qu’elle n’était pas bien parce qu’elle lui avait dit qu’elle avait toujours mal quelque part depuis un an. Elle ne voulait pas se faire soigner.»
Denise Filiatrault connaissait bien Denise Bombardier. Quand la première avait acheté son condo en Floride, la seconde en avait aussi acheté un «peut-être deux ans après». Les deux voisines se voyaient régulièrement.
«C’était une lève-tôt et moi aussi, raconte Mme Filiatrault. Elle venait prendre un café vers 7h30-8h à la maison. On jasait. C’était une fille qui s’intéressait à tout. Je l’aimais bien.»
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
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Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
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Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.