«Je suis une femme libérée et heureuse»: Nathalie Simard se confie sur sa séparation
Le Journal de Montréal
Mercredi soir, Nathalie Simard a annoncé une bien triste nouvelle sur ses réseaux sociaux: la chanteuse et son mari, Lévis Guay, ont décidé de mettre fin à leur mariage.
«C’est avec un mélange d’émotions que je m’adresse à vous aujourd’hui pour partager une nouvelle importante de ma vie personnelle. Après de profondes réflexions, Lévis et moi avons pris la décision mutuelle et respectueuse de mettre fin à notre mariage», a-t-elle écrit sur son compte Instagram tout en demandant à son public de respecter sa vie privée.
«Nous souhaitons vous informer que nous avons décidé de ne faire aucun commentaire supplémentaire sur les détails entourant cette décision», ajoute la chanteuse qui parle d'une étape difficile qui s'est déroulée dans le respect et qu'elle aborde avec maturité et espoir pour l'avenir.
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Après une belle année marquée par sa présence dans la téléréalité Sortez-moi d'ici, la chanteuse de 54 ans vit un mois de décembre plus difficile. Elle fait toutefois, à nouveau, preuve de résilience.
«Les gens ont toujours été là, même dans les moments les plus difficiles. Aujourd’hui, je suis dans une période où je peux le voir clairement, l’apprécier et le recevoir d’une bonne manière», explique celle qui compte parmi ses plus beaux cadeaux de Noël la fidélité de son public.
Rencontrée par Le Journal la semaine dernière, avant l'annonce de sa séparation, Nathalie Simard était souriante et chaleureuse, exactement comme l’artiste que les téléspectateurs de la populaire téléréalité Sortez-moi d’ici ont redécouverte avec bonheur en 2023.
Contactée par Le Journal au lendemain de la triste nouvelle, la chanteuse assure que sa joie de vivre n'était pas feinte. «Je suis une femme libérée en plein pouvoir sur ma vie, et heureuse», dit-elle. Si elle ne peut commenter davantage la situation, c'est que cela fait partie de l'entente conclue avec son ex-conjoint.
Après 19 mois à parcourir la planète pour chanter ses succès dans des stades remplis de Swifties hystériques, la plus grande vedette de notre époque, Taylor Swift, s’amène enfin au Canada – six concerts à guichets fermés à Toronto à partir de jeudi, puis trois à Vancouver en décembre – pour mettre un point final à la tournée la plus lucrative de l’histoire de la musique.
Installé à New York tout l’automne, l’humoriste Mathieu Dufour se demandait si la Grosse Pomme allait «virer à l’envers» le soir de l’élection américaine, au moment où Le Journal l’a contacté, mardi après-midi. «J’ai bien hâte de voir s’il va y avoir des répercussions», a dit celui qui en a profité pour annoncer un nouveau spectacle de Noël avec une chorale de 100 chanteurs.
Pour la journaliste et chroniqueuse d’origine haïtienne Anne-Lovely Etienne, le regretté Herby Moreau a représenté un monde des possibles en devenant l’une des premières figures de la communauté noire à avoir couvert – et à avoir fait partie – du star-system québécois. «Il m’a permis de me dire: moi aussi, je peux le faire», confie-t-elle.
Les Cowboys Fringants ont poursuivi sur leur lancée dimanche soir. Après avoir vu l’album et la comédie musicale Pub Royal rafler cinq Félix mercredi, lors des deux premiers galas, le groupe de Repentigny a ajouté trois statuettes à sa cagnotte au principal Gala de l’ADISQ, animé par Pierre-Yves Roy-Desmarais. Parions qu’il y a un Karl Tremblay qui était bien fier de ses comparses là-haut.
Ils sont au cœur de la chanson québécoise et créent des œuvres qui marquent des générations et des moments de vie à jamais; pourtant, en plus de vivre dans l’ombre, les paroliers québécois ne parviennent pas à gagner leur vie avec leur passion. «Personne ne peut vivre de sa plume en chanson au Québec en ce moment », estime la parolière Ève Déziel.
Finalistes dans sept catégories, dont quatre au gala dominical, Les Cowboys Fringants ont tous les éléments en main pour être les grands gagnants de l’ADISQ cette année. L’excellent album Pub Royal, tiré de la comédie musicale du même nom et auquel le chanteur Karl Tremblay a prêté sa voix avant son décès, a été acclamé de toutes parts à sa sortie au printemps. Si cela s’avérait le chant du cygne pour les Cowboys, ils auraient de quoi partir la tête très haute. Voici les coups de cœur et prédictions de nos journalistes pour ce 46e Gala de l’ADISQ.
Une rare visite à Montréal pour Bruce Springsteen: le «Boss» fait les choses en grand au Centre Bell
Après avoir fait languir ses amateurs montréalais pendant 16 longues années, Bruce Springsteen a rappelé à tout le monde qui était le patron au Centre Bell.